Dans certains cas, même après avoir écarté les maladies à déclaration obligatoire, si des signes cliniques de VNO se manifestent chez des espèces élevées pour la production alimentaire, l'ACIA s'assure que les animaux ne soient abattus qu'après qu'ils aient récupéré complètement et qu'un délai suffisant ait passé depuis les derniers signes cliniques.
L'ACIA a préparé documents sur la façon dont elle gère les situations où des signes cliniques neurologiques sont déclarés chez les chevaux et la volaille au Canada. Ils présentent les directives que suit l'ACIA quand elle doit avant tout confirmer ou de réfuter la présence de maladies à déclaration obligatoire qui ressemblent cliniquement au VNO (rage chez les chevaux, la maladie de Newcastle chez les oiseaux, etc.)
- Intervention de l'Agence canadienne d'inspection des aliments en présence de signes d'atteinte du système nerveux central chez les oiseaux domestiques de l'ordre des Ansériformes (oies et canards domestiques) dans les régions où le virus du Nil occidental sévit à l'état endémique - Enquête sur le terrain.
- Intervention de l'Agence canadienne d'inspection des aliments en présence de signes d'atteinte du système nerveux central chez les cheval dans les secteurs où le virus du Nil occidental sévit à l'état endémique - Enquête sur le terrain et dans les établissements agrées.
- Intervention de l'Agence canadienne d'inspection des aliments en présence du virus du Nil occidental chez les oiseaux d'abattage appartenant à l'ordre des Galliformes (poulets, dindons, pintades, faisans et cailles d'élevage) et chez le nandou, l'émeu et l'autruche.